2 juin 2008
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23:39
Putain de Bordel de M...! Crotte!
Désolée, mais il faut que je me défoule quelque part, sinon il va y avoir des morts. Enfin, je dis cela, mais sur le coup ne me viendrait même pas à l'idée de donner une gifle à quelqu'un. Mais après réflexion, oui il faut que j'y réfléchisse, je me dis que parfois ce serait une bonne idée, peut-être la dernière solution face à certaines personnes pour garder un peu de dignité, et au moins se défouler. Non, moi je suis une lavette, une chouineuse, plutôt le genre à craquer nerveusement et à s'écrouler. Quand même pas au moindre petit pépin, mais j'ai rapidement ma dose d'émotions. Je ne fonds pas en larmes, non, celles-ci sont juste au bord des yeux et de la voix. Ce n'est pas voulu du tout, totalement incontrôlé et incontrôlable, mais cela a sur certains types d'individus un effet non négligeable.
Mais sur le type de personnage qui est l'objet aujourd'hui de ma rage, il ne faut pas compter sur un sursaut d'humanité. Souriante, du genre à te tutoyer rapidement - mais moi, en résistance, je m'obstine à la vouvoyer malgré le fait qu'elle ne doit pas avoir 30 ans – elle n'a pas l'air mais en a la chanson.
Déjà, ça partait mal, ce matin, en arrivant sur mon lieu de travail. « Vous allez m'en vouloir », qu'elle me dit. Tu m'étonnes! Et moi de répondre « ça dépend... ». Restons calme, ne craignons pas le pire avant que le déluge n'ait commencé. Et elle de répéter que je vais lui en vouloir, toujours un léger sourire aux lèvres. « Je vous ai oublié. Je croyais que vous ne veniez que la semaine prochaine! » Bien bien... Tu m'as oublié ou tu croyais que je venais seulement la semaine prochaine? Ça fait toute la différence. Mais je connais l'oiseau, ce n'est pas la première fois qu'elle me fait le coup, et je l'ai appelé, re-appelé et lui ai envoyé un mail vendredi, mail que je sais qu'elle a lu. Ne tergiversons pas, il est de renommée publique que cette nana fait mal son boulot, pas besoin de chercher midi à quatorze heure. Et elle de m'expliquer qu'elle ne voit pas comment on va faire, qu'elle ne voit pas pourquoi je suis là, peut-être même qu'elle essaye de me convaincre que c'est moi qui suis en tort. La galère totale, comme d'habitude. Et comme d'habitude, j'en ai marre de ce boulot, tout ça à cause d'une, et une seule personne. Non, parce que les autres sont top: entre celui qui est devenu rapidement un ami d'enfance et celle qui me lance en partant un « Salut ma grande » réconfortant (et très ironique, vu mon mètre 55), il y a de quoi me mettre de bonne humeur. Et puis ici, sans cette ¤µ%¤ de pouff... (oui, c'est un mot que je peux utiliser dans de très rares occasions, et là, elle le vaut bien), je n'aurais pas à me plaindre : je suis en terre connue, dans la ville qui m'a vu naître, et je suis hébergée par deux types extras, que s'ils n'existaient pas, et bien il faudrait les inventer (avec la part de tarte laissée sur la table à mon intention pour mon quatre-heure...).
Euh, c'est vraiment très mal de souhaiter que quelqu'un se fasse virer? Très très mal? Ben j'ai de très vilaines pensées alors aujourd'hui... Et je n'en ai même pas honte...
Ouf, ça fait du bien de se défouler, de décharger sa colère. Et oui, c'est comme ça que je me défoule, que je libère mes mauvaises ondes. Pas très sympa pour vous... Je mets en ligne? Je ne mets pas en ligne? Allez, je publie, ça sera d'autant plus efficace comme défouloir.
Désolée, mais il faut que je me défoule quelque part, sinon il va y avoir des morts. Enfin, je dis cela, mais sur le coup ne me viendrait même pas à l'idée de donner une gifle à quelqu'un. Mais après réflexion, oui il faut que j'y réfléchisse, je me dis que parfois ce serait une bonne idée, peut-être la dernière solution face à certaines personnes pour garder un peu de dignité, et au moins se défouler. Non, moi je suis une lavette, une chouineuse, plutôt le genre à craquer nerveusement et à s'écrouler. Quand même pas au moindre petit pépin, mais j'ai rapidement ma dose d'émotions. Je ne fonds pas en larmes, non, celles-ci sont juste au bord des yeux et de la voix. Ce n'est pas voulu du tout, totalement incontrôlé et incontrôlable, mais cela a sur certains types d'individus un effet non négligeable.
Mais sur le type de personnage qui est l'objet aujourd'hui de ma rage, il ne faut pas compter sur un sursaut d'humanité. Souriante, du genre à te tutoyer rapidement - mais moi, en résistance, je m'obstine à la vouvoyer malgré le fait qu'elle ne doit pas avoir 30 ans – elle n'a pas l'air mais en a la chanson.
Déjà, ça partait mal, ce matin, en arrivant sur mon lieu de travail. « Vous allez m'en vouloir », qu'elle me dit. Tu m'étonnes! Et moi de répondre « ça dépend... ». Restons calme, ne craignons pas le pire avant que le déluge n'ait commencé. Et elle de répéter que je vais lui en vouloir, toujours un léger sourire aux lèvres. « Je vous ai oublié. Je croyais que vous ne veniez que la semaine prochaine! » Bien bien... Tu m'as oublié ou tu croyais que je venais seulement la semaine prochaine? Ça fait toute la différence. Mais je connais l'oiseau, ce n'est pas la première fois qu'elle me fait le coup, et je l'ai appelé, re-appelé et lui ai envoyé un mail vendredi, mail que je sais qu'elle a lu. Ne tergiversons pas, il est de renommée publique que cette nana fait mal son boulot, pas besoin de chercher midi à quatorze heure. Et elle de m'expliquer qu'elle ne voit pas comment on va faire, qu'elle ne voit pas pourquoi je suis là, peut-être même qu'elle essaye de me convaincre que c'est moi qui suis en tort. La galère totale, comme d'habitude. Et comme d'habitude, j'en ai marre de ce boulot, tout ça à cause d'une, et une seule personne. Non, parce que les autres sont top: entre celui qui est devenu rapidement un ami d'enfance et celle qui me lance en partant un « Salut ma grande » réconfortant (et très ironique, vu mon mètre 55), il y a de quoi me mettre de bonne humeur. Et puis ici, sans cette ¤µ%¤ de pouff... (oui, c'est un mot que je peux utiliser dans de très rares occasions, et là, elle le vaut bien), je n'aurais pas à me plaindre : je suis en terre connue, dans la ville qui m'a vu naître, et je suis hébergée par deux types extras, que s'ils n'existaient pas, et bien il faudrait les inventer (avec la part de tarte laissée sur la table à mon intention pour mon quatre-heure...).
Euh, c'est vraiment très mal de souhaiter que quelqu'un se fasse virer? Très très mal? Ben j'ai de très vilaines pensées alors aujourd'hui... Et je n'en ai même pas honte...
Ouf, ça fait du bien de se défouler, de décharger sa colère. Et oui, c'est comme ça que je me défoule, que je libère mes mauvaises ondes. Pas très sympa pour vous... Je mets en ligne? Je ne mets pas en ligne? Allez, je publie, ça sera d'autant plus efficace comme défouloir.