2 février 2009
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17:29
Hier dimanche, à l'heure où d'autres vont rendre grâce à dieu (z'avez vu, j'mets pas de majuscule : c'est mon côté rebelle) et le remercier pour toutes les bonnes choses qu'on lui doit (par contre, bien sûr, toutes les mauvaises, faudra en faire le reproche à quelqu'un d'autre. Vous savez, c'est comme dans une administration, un bureau, ou une cour d'école : c'est toujours la faute de celui qu'est pas là, ou qui peut pas se défendre, le petit voisin le responsable, enfin un tiers à qui faudra s'adresser et demander des comptes, bref de toute façon moi j'étais pas là, alors hein!), donc en début de journée, à l'aube, c'est-à-dire à 11h, moi, je rendais grâce au cinéma du coin de faire une séance à 3€, ainsi qu'à l'être sans conteste supérieur, créateur de cet art magistral, et qui permit à l'oeuvre que je venais justement admirer, de voir le jour.
Bref, j'étais viendue venue voir Séraphine, jouée, et son interprêtation mes patates m'épatâte, par une Yolande Moreau (qu'on surnomme chez moi affectueusement "La Yolande", en raison que c'est le prénom que déteste le plus mon paternel), une Yolande Moreau, disais-je, au sommet de son art, parfaite, que si elle a pas l'Oscar le César, ben que je veux bien me couper la main me pendre ben que ça serait vraiment trop'injuste!
Un film vraiment que trop qu'il est bien.
L'histoire... Ben celle de la peintre Séraphine Louis, dite "de Senlis". Si vous voulez plus de précision, vous pouvez allez là, et pis là.
J'aurais eu envie de vous en parler plus sérieusement, de vous dire ce que j'ai ressenti, comme j'ai ri aussi, comme j'ai eu envie de peindre, et aussi de savoir peindre. J'aurais eu envie de trouver les mots pour convaincre au moins une personne d'aller voir ce film, et qu'il me dise ensuite en sortant "j'ai bien fait de t'écouter". J'en aurais eu envie, mais je peux pas. Rapport à des yeux qui tiennent pas ouverts, à une nuit où que j'ai presque pas dormi, avec réveil à 4h50 (milieu de la nuit, quoi!), alors que fallait juste que je me lève à 8h30, tout ça parce que paraîtrait que j'aurais pu stresser pour une histoire d'interview et de journaliste qui passait me voir ce matin, et que le sujet, ben c'était moi. Pfff... franchement... j'vois pas pourquoi j'aurais stressé... n'importe quoi... c'est juste un canard local...
Bref, j'étais viendue venue voir Séraphine, jouée, et son interprêtation mes patates m'épatâte, par une Yolande Moreau (qu'on surnomme chez moi affectueusement "La Yolande", en raison que c'est le prénom que déteste le plus mon paternel), une Yolande Moreau, disais-je, au sommet de son art, parfaite, que si elle a pas l'Oscar le César, ben que je veux bien me couper la main me pendre ben que ça serait vraiment trop'injuste!
Un film vraiment que trop qu'il est bien.
L'histoire... Ben celle de la peintre Séraphine Louis, dite "de Senlis". Si vous voulez plus de précision, vous pouvez allez là, et pis là.
J'aurais eu envie de vous en parler plus sérieusement, de vous dire ce que j'ai ressenti, comme j'ai ri aussi, comme j'ai eu envie de peindre, et aussi de savoir peindre. J'aurais eu envie de trouver les mots pour convaincre au moins une personne d'aller voir ce film, et qu'il me dise ensuite en sortant "j'ai bien fait de t'écouter". J'en aurais eu envie, mais je peux pas. Rapport à des yeux qui tiennent pas ouverts, à une nuit où que j'ai presque pas dormi, avec réveil à 4h50 (milieu de la nuit, quoi!), alors que fallait juste que je me lève à 8h30, tout ça parce que paraîtrait que j'aurais pu stresser pour une histoire d'interview et de journaliste qui passait me voir ce matin, et que le sujet, ben c'était moi. Pfff... franchement... j'vois pas pourquoi j'aurais stressé... n'importe quoi... c'est juste un canard local...