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La Face Cachée

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Albert Einstein

"La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre."

Juste par curiosité...

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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 20:45
 
free music


    Semaine du développement durable du 1er au 7 avril. Concrètement, je ne sais pas du tout ce qui va être fait à cette occasion ou si ça va nous mener quelque part, j'ai peur que ce ne soit qu'un coup de com (communication, pas commentaire hein!). Mais en tant que cliente du bio (et oui cliente, ce n'est pas du bénévolat, ça reste du commerce! Enfin j'me comprends...), adepte du commerce équitable, et revendiquant une conscience écologiste, je ne pouvais pas passer à côté.
Comme pour toutes les journées de ..., ou semaines de ..., ce n'est jamais suffisant et ne sert souvent qu'à se donner bonne conscience. Soit.
Je ne suis pas la seule à être dubitative:



"Quand cessera-t-on de penser qu'on peut fabriquer des citoyens de demain en éduquant les enfants avec de simples slogans sans rien modifier à l'environnement pestilentiel dans lequel ils évoluent ?"
Taslima Nasreen
Extrait de Libération - A quoi pensez-vous ?


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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 14:36
Dans la série "arrête de mâter la télé et va bosser feignasse":

Il n'y a rien qui m'agace plus que la démagogie : brosser dans le sens du poil pour se faire bien voir du poilu (comme quoi il y en a encore), cirer les pompes, lécher les bottes (décidément elles vont être propres)...
Dans le même ordre d'idée, il n'y a rien qui m'énerve plus que ces émissions tv qui parlent d'un sujet hyper à la mode et tentent de nous faire croire qu'elles s'engagent en prenant position, position qui comme par hasard, va profiter à leur audimamat. Genre Julien Courbet qui essaye de nous convaincre que la cause des "petites gens" le préoccupe au plus au point.
Mais il y a toujours des exceptions, des cas pour lesquels je dis bravo, ne serait-ce que parce que ce n'est pas une habitude, et pour la manière dont cela est amené.
Je m'explique: je regardais le Magazine de la santé (le genre d'émission que les hypocondriaques doivent absolument éviter...), le présentateur nous présente (en même temps, c'est son boulot) très sérieusement une photo d'un cerveau normal, puis celle d'un cerveau micro-céphale (tout petit), précisant que ce cerveau contient très peu de neurones. Moi je regarde béatement en me disant "wahou, y a de la place là-dedans" (et là on se demande si ce n'est pas le mien, de cerveau). Et là, sous la photo, apparaît ces mots: "supporter de foot" (ou quelque chose comme ça), et le toujours présentateur nous désigne l'individu en question  dans les gradins du maintenant célèbre match PSG/Lens, derrière une banderole non moins célèbre « Pédophiles, chômeurs, consanguins: bienvenue chez les Ch'tis ». Il n'y a rien à ajouter. CQFD
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30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 18:16
  Je vous rassure tout de suite: je ne vais rien dénoncer ici, il n'y a aucune raison de se mobiliser, remballez vos claviers, arbalètes et autres fusils d'assaut... On reste calme et on boit frais. Quoique, en cherchant bien, on doit pouvoir trouver un bon nombre de perles...

    En fait, je voulais raconter comment je suis tombée sur un film vraiment bien à la télé... (wahou, quelle aventure fantastique!) ça arrive parfois, mais rien n'ai fait pour ça, bien au contraire. C'est presque le parcours du combattant, ou mission impossible.
   J'ai la sale manie, sale parce qu'il faut traverser des choses pas très propres, voire boueuses, et même merdiques, d'éplucher littéralement mon programme tv dans son entier, de la 1ère à la dernière heure de la journée télévisuelle. C'est plutôt vite fait vu que je n'ai pas beaucoup de chaînes, que les émissions sont toujours les mêmes, et que je ne lis qu'exceptionnellement tout ce qu'il y a autour du programme (les interviews pipeules, très peu pour moi). Bref, entre « Très chasse très pêche » (beuark, pardon: une remontée gastrique), « Thé ou café » et les grognasses de « l'alternative live » (tu parles d'une alternative!), il arrive parfois que l'on tombe la nuit sur des petits bijoux. C'est très rare, mais ça arrive. Surement une erreur du programmeur, un moment d'inattention de sa part dans la poursuite de sa politique d'abrutissement du public (qui n'a déjà pas besoin de ça...), presque une faute grave qui mériterait son renvoi si ses supérieurs l'apprenaient.
    Nous étions donc fin novembre, un jour x ou y (ou xx ou xy), quand je découvre sur mon magazine tv un film programmé à 2h30, sur la 1ère chaîne (vous ne me ferez pas dire son nom) et inédit... rien pour faire envie quoi! A priori on se dit que ça doit être une sacrée merde un sacré navet ou d'un ennui mortel tout juste bon à assommer un insomniaque près à tout pour s'en sortir, ou alors un film qu'on ne pourrait décemment pas passer à une heure décente (justement) en raison de scènes susceptibles de choquer un certain public (genre le héros lit un livre, ou pire: il aime ça). En tout cas, on se dit qu'il n'a pas dû coûter cher à la chaîne pour qu'elle prenne la peine d'en faire une première diffusion à cette heure-ci (2h30 merde!!).
  
  Moi, comme je n'ai pas grand chose à foutre de mes journées (si si: je vous ai entendu le penser très fort!), je google le titre du film, le résumé me plaît, j'enregistre (tiens, ça va plus vite d'un coup). Et donc j'ai l'heureuse surprise de voir « Imposture », film de 2005 de Patrick Bouchitey, avec lui-même, Laetitia Chardonnet, Isabelle Renaud... Un prof de fac, critique littéraire, et écrivain en mal d'inspiration, et même frustré et odieux, kidnappe une de ses élèves pour lui voler le livre qu'elle vient d'écrire, qu'il aurait dû écrire... Et à la fin ... , non faut vraiment le voir.
Enfin, ce n'est que mon humble petite opinion, vous en faîtes ce que vous voulez.
N'empêche que je n'ai toujours pas compris pourquoi ils ont diffusé ce film à 2h30... Ou alors c'est vraiment moi qui ai un goût de chiotte mauvais goût (je note: à ne pas exclure).

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 21:55
    Cette semaine fut ... semblable aux précédentes. Vous allez peut-être me dire que c'est le cas pour la plupart des gens. Mais moi j'aimerais que chacune soit différente des autres, j'aimerais pouvoir me dire le dimanche venu que j'ai fait telle ou telle chose de passionnante, ou au moins d'originale et d'intéressante. Rien d'original donc, je suis juste allée au ciné. Non vraiment, plus je réfléchis à cela, plus je cherche dans mes souvenirs pour me remémorer les sept derniers jours passés, plus ça me fout le cafard. La routine est une vraie plaie, une blessure ouverte que je n'arrive jamais à soigner.
    Comment donc trouver le sommeil le soir quand on n'a pas particulièrement envie d'être au lendemain, quand rien de particulier, de « spécial » ne nous attend, quand on n'a pas envie de dire « vivement demain » car on sait par expérience que demain sera semblable à aujourd'hui? Oui oui je sais, tout cela n'est pas très gai, en particulier pour un beau samedi ensoleillé (ah il n'a pas fait pas beau chez vous? Dommage...). Mais j'ai déjà dit ici (c'est-à-dire sur ce blog) que je n'aimais pas le week-end. Je sais aussi qu'il ne faut pas attendre que tout nous tombe tout cru dans les bras, qu'il faut y mettre un peu du sien et bouger son popotin pour arriver à ses fins, et je serais la première à le dire, seulement voilà, entre ce que l'on dit et ce que l'on fait, il y a souvent plus qu'un grand écart (non, on ne prendra pas pour exemple les hommes politiques. Non non, on ne fera pas ça...). Et souvent je me dis se bouger, oui, mais concrètement faire quoi?
Décidément le samedi ne me réussit pas...
Allez, peut-être que dimanche sauvera le reste de la semaine... (phrase de fin tout à fait optimiste, convaincante et pleine d'entrain. Ah non? Mince...)


 « C'est terrible de se laisser prendre dans sa routine, on s'enlise, on se sent en sécurité. Et puis, tout à coup, on s'éveille, et il n'y a plus rien... »
Yves Thériault (Extrait de Valérie)
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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 17:15



    Dans la série « je parle de moi parce que c'est le sujet que je connais le mieux même si c'est loin d'être le plus intéressant », je vous propose de vous causer d'un sujet grave, et là seuls seront peut-être d'accord avec moi ceux qui se reconnaîtront dans la description de mes symptômes (serrons-nous les coudes Camarades!): je vais donc vous parler de ma difficulté à m'endormir. Une fois que je dors, pas de problème, mais pour arriver à trouver ce sacro-saint sommeil, c'est la croix et la bannière. Ceux qui n'ont jamais vécu cela ne comprendront peut-être pas où est le problème. Peut-être même penseront-ils que c'est le fait de personnes qui ne foutent pas grand chose, manquent d'activités et feraient bien d'arrêter de se plaindre et se rendre compte que certains n'ont pas le temps de se permettre de ne pas dormir quand ils en ont la possibilité (vous suivez? Parce que moi des fois, je lâche le fil...).
    J'envie depuis toujours les personnes qui ont à peine le temps de fermer les yeux ou qui ont encore un pied hors du lit lorsqu'ils tombent dans les bras de Morphée (j'aime bien l'image du gars à cheval entre son lit et le vide... ça me fait penser à mon oncle (au passage, titre d'un film de Tati - pas « ma » tatie hein!- y a pas de mal à s'instructionner), donc mon oncle qui, à peine fermé sa porte de chambre, ronfle telle une fusée à son lancement (enfin j'imagine: je n'ai jamais assisté à cela) avec encore, je suis sure, la main sur la poignée de la porte). Vraiment, se rendent-ils compte de la chance qu'ils ont?
    Concrètement, fatiguée ou très fatiguée, c'est presque à chaque fois la même rengaine: j'éteins la lumière, la tête embrumée, les yeux n'étant restés ouverts sur mon bouquin que grâce à un effort surhumain (chacun son exploit), prête à sombrer, et petit à petit je me mets à penser à un tas de trucs, un tas de thèmes d'une grande variété (en fait, tout peut y passer, si si, tout). Et une fois la machine enclenchée... un peu comme une voiture sans frein en pleine descente (essayez pour voir! Enfin non, façon de parler hein! Faisez pas les cons!), ça ne fait que s'accélérer.
Bref, c'est pas marrant, croyez-moi sur parole. Si je m'endors avant une heure de réflexion, c'est une bonne nuit. Généralement, c'est plutôt 2 heures minimum (et j'insiste sur le minimum).
    Et parfois, je vous assure, vous êtes crevée, vous avez mal à la tête à force de penser (si encore c'était constructif...), il est 5h00 du mat' et vous avez l'impression que jamais plus vous ne pourrez dormir. Vous voyez les supplices de Tantale? C'est un peu ça : le sommeil a porté de main sans jamais ne l'atteindre. Mais bien sûr, il vient toujours un moment où je finis par tomber telle une merde.
Le pire, c'est qu'en tant que célibataire je ne peux même pas empêcher quelqu'un d'autre de dormir à côté de moi... et lui faire partager ma frustration.
Alors si quelqu'un a un truc, une méthode quelconque, je suis prête à tout... enfin presque. J'ai déjà essayé pas mal de chose: phytothérapie, homéopathie, méthode sophrologique de base... Je ne connais qu'une seule chose d'efficace (on met de côté les cachetons qui dépannent mais sans être une solution... je ne veux contribuer ni à l'engraissement des laboratoires, ni au trou de la Sécu, et je ne veux pas non plus devenir accro à ces trucs-là) : les documentaires sur Arte. Plus ça m'intéresse, mieux ça marche.
    Il faut quand même que j'avoue une chose: j'aime ce moment de réflexion sans parasite, tant que cela ne dure pas des heures... Il m'est même arrivé de le rechercher, de me dire: « je réfléchirai à cela à tête reposée ce soir ». Maintenant je ne souhaite qu'une chose: DORMIR!!


« Souffrant d'insomnie, j'échangerais un matelas de plumes contre un sommeil de plomb. »
Pierre Dac
« L'insomnie, c'est ce dont souffre un individu qui reste toute la nuit éveillé pendant une heure. »
Anonyme
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27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 19:20



    J'avais commencé en novembre à montrer quelques photos du Maroc où j'avais passé mes vacances. Mais sur ce coup-là, j'avais un peu tout laissé en plan (oui, parfois je suis particulièrement feignasse. J'ai dit "parfois"?). Mais je ne voudrais pas passer à côté d'un lieu incontournable de ce pays, classé à l'Unesco ce qui a permis de sauver cette kasbah. Bon, évidemment, la contrepartie c'est que vous y croiserez plus de touristes que d'autochtones, sauf à venir avant l'arrivée des bus ou des caravanes de 4X4 (pleins de chibanis en short et coiffés de bobs tout à fait ridicules...) et en prenant des chemins détournés.

   Donc, j'ai déjà fait l'océan et le désert de sable, et je vous propose là quelques images d'Aït-ben-Haddou, qui pour situer, se trouve à quelques kilomètres de Ouarzazate (et mourir - désolée, il fallait que je la fasse celle-là), c'est-à-dire aux Portes du désert (soupir nostalgique). Il s'agit d'une ancienne kasbah abandonnée et qui revit depuis quelques années grâce au tourisme (les hôtels y poussent mieux que l'herbe) et aux tournages de cinéma (vous avez forcément vu des films qui ont été tournés là-bas, même si la plupart sont tournés à Ouarzazate (et mourir... redésolée...) dans de grands complexes cinéma-tographiques (si si) dont ils font payer une fortune la visite).
    Si on arrive à faire abstraction des troupeaux de touristes à la queue-leu-leu, qui avalent n'importe quelle connerie qu'on leur sort et se comportent comme ils le font chez eux, c'est-à-dire des consommateurs benêts (mais on l'ait tous un peu), c'est l'un des lieux les plus beaux du Maroc et où l'on peut voir les paysages désertiques les plus majestueux.

Je cause, je cause, mais et le plaisir des yeux alors?

La kasbah dans toute sa splendeur:

RedimensionnerA-t-Ben-Haddou---retour--1-.JPG

ça, c'est pour de faux : des restes d'un tournage (on m'a parlé de Gladiator et de A la poursuite du diamant vert).

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La kasbah de plus près:

Redimensionnersuc30090.jpg

La vue de là-haut (panorama de 360°) :

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Redimensionnersuc30138.jpg

    Je vous ai épargné les photos de groupes de touristes japonais avec leurs ombrelles (des parapluies? vous croyez?) ou israëliens qui nous suivaient de près (ne reconnaissant pas la langue, on s'est permis de demander au guide).
    S'il vous plait, soyez indulgents et ne jugez pas l'endroit à la qualité de mes photos...

   Je suis loin de vous avoir présenté toutes les merveilles du pays. Juste mes coups de coeur. Il n'y a jamais de plus belles images que celles que l'on voit de ses propres yeux.



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25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 22:38
Le-Carnet-d-or.jpg   Ce livre que j'ai tant aimé et dont j'ai déjà fait l'éloge précédemment, il faut quand même que j'en donne le titre : « Le Carnet d'Or » de Doris Lessing. Son auteure a reçu le prix Nobel de littérature l'année dernière, en partie en raison de ce livre sorti dans les années 60.
   Qualifié souvent de roman féministe, cela provoqua cette réplique de Mme Lessing : "Je déteste cette étiquette d'écrivain engagé qu'on continue à me coller. Aucun de mes romans n'est politique. Je décris des situations, je suis écrivain, c'est tout." Et rien que pour ça, elle mérite tout mon respect.
   C'est un livre de 600 pages (grandes pages, petits caractères, pleins de lignes, bref assez effrayant quand on le commence). Mais la façon même dont il est écrit et son découpage fait qu'on n'a pas l'impression de rester confiner pendant des heures et des heures, de s'enliser dans une histoire dont on ne verrait pas la fin. Il s'agit d'Anna, un(e) écrivain(e), sa vie, et 4 carnets qu'elle tient, classés par couleurs et dans lesquels elle met une part différente d'elle-même, comme pour cloisonner son existence : sa vie en Afrique pendant la deuxième guerre mondiale (ah, encore l'afrique!), son engagement politique (le communisme en Angleterre et ailleurs, l'après stalinisme...), un roman qu'elle tente d'écrire et sa vie amoureuse (et déjà là, c'est pas rien, croyez-moi! Du genre à choquer pas mal de gens de l'époque et même d'aujourd'hui). Il semble pourtant y avoir un lien qui relie tout cela, un lien que l'on ne comprend que vers la fin du livre et qui explique ce cloisonnement : la peur du personnage principal (et donc de l'auteur elle-même? On peut se poser la question car il y a tellement de mises en abîme que je me suis parfois emmélée les pinceaux entre Doris Lessing, Anna et le personnage du livre qu'Anna écrit) donc la peur de tomber dans la folie. Parviendra-t-elle à l'éviter? (je laisse bien le suspens, hein?)
   Tenter d'en faire un résumé serait mission impossible tellement c'est un bouquin foisonnant d'idées. Je crois que je n'avais jamais encore lu de ma vie un livre comme celui-ci, si dense, si libre, si moderne, un livre qui prenne autant de libertés avec les personnages et avec les mots. On ne sort pas indemme d'un tel texte.
   Plus que toute autre chose, je me demande comment on peut écrire un tel livre, le temps, la concentration que cela exige, les maux de tête pour organiser tous les thèmes qui y sont abordés,... Bref, un travail titanesque... Chapeau bas Madame!

J'ai déjà mis quelques extraits du livre. En voilà encore un que j'aime particulièrement:
« Tout plutôt que le calcul, le non-engagement, le refus de donner par peur des conséquences... »

Et quelques citations de Doris Lessing (her self):
« Pensez faux, s'il vous plaît, mais surtout pensez par vous-même. »

« La littérature ne s'apprend pas. On rencontre simplement, en ce domaine, des gens ou des livres qui, brusquement, vous disent, vous montrent ce que vous avez besoin d'entendre ou de voir. »
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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 22:09
free music



   Séance ciné. Je suis allée voir Paris (le film de Klapisch). J'avais eu des échos très différents, mais je préfère toujours me faire ma propre opinion. En fait, et je ne m'y attendais pas du tout, j'ai bien ri. Pas de grands éclats de rire, mais parfois vraiment limite... J'ai bien aimé, vraiment. Et ce n'est pas par amour pour cette ville : toutes les deux, nous sommes des étrangères. Nous ne nous sommes rencontrées que deux fois en tout et pour tout, et si elle a des charmes, je la trouve un peu trop brutale à mon goût, trop speed, trop pressée. Elle manque aussi de sourire, de politesse... Bref, le sujet n'est pas là.
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22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 19:32
   Un court-métrage très intéressant que j'ai regardé cet après-midi, qui fait réfléchir, relativiser et aussi poser un regard différent sur les tomates (entre autres choses)...
A voir donc et surtout à regarder jusqu'au bout ou pas du tout. Je vous renvoie .
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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 23:10
Rapport à l'article précédent...
J'ai un bon VDM à proposer: aujourd'hui je me suis rendue compte que mon blog est copié mot pour mot par une pouffe sur un autre blog... Bon, bien sûr ce n'est pas le mien qui a été copié, tout le monde l'aura compris. Je ne verrais vraiment pas l'intérêt... Tant qu'à faire, autant voler les mots de quelqu'un qui a du talent, de quelqu'un qui a des choses à dire et les dit bien, de quelqu'un qui pense par elle-même et ne se laisse pas penser par les autres, bref, je veux parler de l'Emmerdeuse.  Et je ne parle pas là de citations, mais bel et bien d'un plagiat.
C'est immonde, dégueulasse,... on ne va pas se noyer dans les mots, il y en aurait trop.
Mais c'est plus fort que moi, je pense aussi aux lecteurs trahis et je me demande ce que je ressentirais si ça m'était arrivé à moi de me rendre compte que j'avais été la dupe d'une telle saloperie. Je crois que ça ne pourrait que me pousser à prêter ma confiance encore plus difficilement. Je crois que le choc serait bien réel et ne s'arrêterait pas à la lecture d'un blog quelque part sur la toile...
Et là c'est encore plus fort que moi : je pense aussi à la plagieuse. Je me demande ce qu'il faut avoir dans la tête pour faire ça, je me dis qu'elle doit quand même être perturbée... J'essaye d'analyser, comme toujours. Je pense à ce film, "Imposture", par et avec Patrick Bouchitey (un très bon film au passage). Je pense qu'il doit y avoir quelque chose derrière, peut-être une souffrance, pour en arriver à un tel acte. Je ne veux pas la plaindre, je ne veux certainement pas lui trouver d'excuses, il n'en existe pas, mais je cherche des explications, car là il doit en exister. Je pense aussi qu'elle doit se sentir bien mal ce soir, ou alors c'est que le cas est encore plus grave que je ne le pensais!!
Je pense aussi que je me pose trop de questions, mais qu'au moins, moi, j'ai des états d'âme...


Pour finir, une petite citation de Jules, 6ans : "Copier, c'est pas beau!"

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